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Août 2016

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Au mois d'août, mon mari a passé les tests diagnostiques du HPI, un peu (beaucoup) à ma demande (je l'avais totalement reconnu dans le livre "Trop intelligent pour être heureux ? L'adulte surdoué." de Jeanne Siaud-Facchin), un peu parce que la psy, à la fin de ma séance de restitution, avait sous-entendu que ce ne serait pas inutile, et un peu à sa demande à lui (il a fini par se demander si nous n'avions pas raison).
Il est également HPI (j'avais raison ha ha!).
Dans le groupe de personnes qui gravitent autour de lui, il y a 3 HPI diagnostiqués (dont moi) et plusieurs autres personnes qui, au vu des connaissances que nous avons acquises tous les deux sur le sujet, auraient tout-à-fait le profil. C'est un peu une tribu, une sorte d'association de bienfaiteurs. Une meute ou une colonie faite d'organismes qui vivent ensemble pour se protéger contre un milieu ambiant hostile.
Enfin, moi c'est comme ça que je ressens les choses (je ressens un peu les choses en noir, à tout le moins en gris, en ce moment).


Nous avons profité de la séance de restitution des résultats des tests de mon mari pour faire séance commune façon "thérapie de couple". C'était bien et bienvenu. Chacun a dit des choses qu'il n'avait jamais évoquées devant l'autre. Je sais que c'est le principe de la thérapie de couple, mais je ne pensais pas que cela se ferait naturellement.

 

 

 

 

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