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Anxiété sociale et arts

Voici quelques représentations de la timidité :

- Charlie Brown et les Peanuts de Charles M. Schulz

- Adolphe de Benjamin Constant

 

 

Sur le plan cinématographique, voici quelques exemples :

- Le film "Fous d'Irène" (Me, Myself & Irene) des frères Farelly offre une représentation de l'anxiété sociale et du manque d'affirmation sur mode humoristique grinçant. Bien qu'il soit décrit comme ayant un trouble de la personnalité, le personnage de Jim Carrey montre bien toute la frustration de ne pas oser dire ce qu'on pense.

- Le personnage du Maire dans "L'étrange Noël de Mr Jack" (The Nightmare Before Christmas) de Tim Burton, avec son double visage qui passe en une seconde du sourire jovial à une grimace effrayante est très évocateur des troubles anxieux. Il me rappelle les moments où les pensées anxieuses font irruption sans prévenir, comme un "coup de poignard" et le visage souriant que l'on est parfois obligé de s'imposer pour faire face dans ces cas-là.

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Charte graphique de ce blog :

- Le chat du Cheshire d'Alice au Pays des merveilles de Lewis Caroll

- Des illustrations provenant de l'oeuvre de la graphiste Cali Rezo.

 

 

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Commentaires

  • Bonjour,

    Je vais lire vos textes (sur votre blog). Je les ai survolés et ils m'intéressent beaucoup! Il me semble que nous avons quelques traits en commun.

    Je souffre d'anxiété sociale majeure. Il s'agit en fait d'un "Trouble de la personnalité évitante". J'ai même connu des épisodes schizoïdes, que j'ai trouvé "agréables" (des épisodes où je me repliais complètement, sans me plaindre, sans désir de changer, assumant ma solitude).

    J'ai lu plusieurs des livres qui figurent dans votre liste (livres de chevet).

    Je viens tout juste de mettre fin à ma thérapie cognitivo-comportementale. Mon psy le déplore, car il trouvait que je faisais de grands progrès, mais je lui ai expliqué ma décision et il comprend (il comprend que je dois aller à mon rythme). Cela dit, je ne regrette absolument pas ma psychothérapie qui a débuté en janvier 2012. Elle m'a permis de mieux me comprendre et de me sortir d'une vilaine dépression (la pire que j'aie vécu). Il n'est pas impossible que je retourne en thérapie, un de ces jours.

    Je me suis aussi remise à écrire, grâce à la thérapie. Mais au lieu de tenter d'écrire des histoires (des fictions) comme avant, j'écris sur moi, sur ma vraie vie. Je dépose mes textes sur le blog paralettre.blogspot.com.

    N'hésitez pas à me faire signe, par exemple en laissant un commentaire sur mon blog.

    Je vous ferai signe aussi :-)

    Amicalement,
    Christine

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