Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Roller coaster

    malin.jpg

     

    Voici, comme promis dans la précédente note, ce que m'a demandé de faire la psy pour la prochaine fois :
    - noter 5 qualités humaines me décrivant,
    - noter 5 qualités que mes amis et mes proches reconnaissent en moi, préciser laquelle contribue le plus à l'estime de moi,
    - décrire tous les jours une situation dans laquelle j'ai été fière en terme de qualité,
    - établir une liste de caractéristiques physiques me décrivant, qualités ou défauts.

    Je n'ai pas tout de suite su quoi mettre dans chacune des rubriques. Mais il faut dire, aussi, qu'en ce moment je suis préoccupée par autre chose. On m'a dépisté, la semaine dernière, un probable mélanome superficiel (SSM). On me le retire cette semaine, il sera analysé et j'en saurai plus sur le diagnostic à partir de ce moment-là. Moi qui me suis toujours connue inébranlable vis-à-vis du médical, je suis, du coup, très étonnée de constater que je ne le suis pas. Mon cerveau part en live, comme il a l'habitude de le faire à propos d'autres thématiques que le médical, et élabore tout un tas de scénarios plus catastrophiques les uns que les autres. Mon corps y répond par des manifestations d'anxiété fortes, voire violentes. Sur le plan émotionnel, je passe de la grande tristesse à l'angoisse profonde, entrecoupées de phases de sérénité totale.
    Pour simplifier, c'est un roller coaster quotidien.
    Et c'est fatigant.


    Le plus énervant dans l'histoire, c'est que le truc est sur mon poignet gauche. Je ne pourrai même pas citer Coluche dans le texte.

     




     

    Lien permanent 0 com' Catégories : Bulletin de santé
  • Séance de septembre 2016

    En ce moment, j'ai un gros ras-le-bol du genre humain. Les gens me fatiguent psychologiquement et me déçoivent. Pas tous, mais la grosse majorité.
    Je suis donc arrivée à la séance avec mon mal-être, les larmes au bord des yeux. J'ai vidé mon sac. La psy a essayé de me faire dire qu'il ne fallait pas généraliser, que tous les gens ne sont pas pourris et/ou incompétents, puis nous sommes revenues sur le travail sur l'estime de soi.
    Nous attaquons maintenant la partie que je qualifierai de "body acceptance". L'estime de soi sur le plan physique.
    Très anxiogène pour moi.
    Je n'ai pas sous la main le détail de ce que m'a demandé de faire la psy pour la prochaine fois, je le décrirai ultérieurement.

    Lien permanent 2 com' Catégories : Estime de soi, Thérapie : les séances