Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Echelle de Rathus - Page 2

  • 2ème séance

    Au cours de la deuxième séance, nous avons dépouillé le questionnaire qu'il m'avait demandé de remplir lors de la première séance.
    Il s'agit d'une échelle d'évaluation de l'anxiété sociale ou échelle d'affirmation de soi, côtée de -90 à +90.
    J'ai eu -49.
    Il faut évidemment préciser que +90 représente l'absence d'anxiété sociale et -90 le maximum d'anxiété sociale.
    "Pas de doute, vous avez eu raison de venir me voir" m'a-t'il dit en souriant.

    Une fois le diagnostic posé, il m'a demandé de faire, pour la prochaine fois, une liste de situations pour lesquelles je ressens une difficulté, que je parvienne à la surmonter, ou non.

  • 1ère séance

    A la première séance, nous (le psy et moi) avons fait connaissaince. Nous avons également posé des mots sur ma plainte.
    Je pensais qu'il s'agissait de problème d' "estime de soi". Il m'a expliqué qu'il s'agit en fait de problèmes d' "affirmation de soi". Il me le démontrera d'ailleurs au cours d'une séance ultérieure.
    "On peut avoir une bonne estime de soi et une mauvaise affirmation de soi. Et on peut avoir un niveau d'affirmation élevé et une mauvaise estime de soi", m'a - t'il expliqué.
    L'estime de soi, c'est ce qu'on pense de soi-même. L'affirmation de soi, c'est la façon dont on affirme son point de vue.

    Il m'a donné un auto-questionnaire à remplir pour la prochaine fois.

    Il m'a demandé si je connaissais le principe des thérapies cognitivo-comportementale. Il m'a expliqué comment la thérapie allait se dérouler.
    Tout d'abord, il faut repérer les situations difficiles.
    Puis il faut repérer leur point commun.
    On peut ensuite décortiquer ce qui se passe et pourquoi ces situations sont difficiles.
    Et enfin, travailler de manière à ce que ce ne soit plus une difficulté. Le travail se fait sur certaines situations. La réussite à cette étape permet au patient de généraliser à toutes les situations difficiles.

    Nous nous sommes dit au revoir.
    J'ai alors exprimé mon inquiétude vis à vis de la thérapie. J'avais peur que cela soit difficile à vivre. Il m'a rassurée en m'expliquant que ce type de thérapie avait beaucoup évolué avec le temps. Auparavant, les patients "en bavaient". Ce n'est plus le cas aujourd'hui.